LA MUSE, LE LUTH ET LA TRIBUNE
On pourrait paraphraser ici le Musset romantique de « La Nuit de Mai » (1840) : « Poète, prends ton luth et me donne un baiser… » Sauf que, dans le cas de cette originale anthologie, les poètes sont des députés, familiers de l’éloquence de la tribune...